le bord du vide est une pierre
laissons les arbres humer la foi
le silence jacasse comme la distance
Des doutes
j'encercle le vide
la femme entre sous la pénétration du centre
les joutes sont distinctes
le néant est une voie comme celle de l'orage
oiseau du vide
viens te poser
accusée de moi même
fustigée par le centre
je suis l'ombre des rêves
prise au piège des cendre
en enfance éclatée
je m'immerge sous la cendre
je reviens par le ventre
dans le cœur du risible
pour te dire amen dans le temps
précis pour te dire que ma femme ne saigne plus
elle soigne sa droite pour te dire je t'aime
mais le temps des amours n'est pas arrivé
lentement s’immiscer
à travers la lande
économiser le prisme ardent des feuilles jaunes et amères sous mes deux yeux
lorsque tu es si dense
décembre
comment est il plus beau
face a la non rime
au non rythme de tes yeux
du sel sauvage et profond
ma langue viens vers toi
hier j'ai lu ma poésie en trois minute
le vent a fait fourcher les yeux des passagers
mes textes doivent se lire dans la lenteur et le temps comme une histoire de tenebra lux
le roi se fut fou
d'un ombre et d'un tout
le bout de ma chevelure
incendie
si tu ne vois pas le cyclone
je te fais une femme de jouvence
le creux des mains est magnifique
et la distance est belle comme comme une énigme
passe quand même sous le sol établit
je ne te dirais que l'accalmie du silence
ombre et lumière
danse et démon
le temps se erre
l’éclat
le fiel tombe
la nuit vient sur le devant
des lourdeurs terrestres
la quête esthétique est aussi dans la puissance du vide
les orages fécondent le divorce
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