credits texte et photographies Lou godard Aka Maud// tous droits réservés..

Prix: second prix de lecture de prose sonore au printemps des poètes 2013 sud de la France
Travail photographique par moi même et autoportrait ...

PROSE POETIQUE ET PHOTOGRAPHIE UNDERGROUND

Mon travail prose poétique et nu artistique est un regard sur la femme dans sa totalité corps et âme ..pensée et corps. elle vise a sortir des clichés de la femme objet.. elle cherche à s'ouvrir vers les beautés d'une complétude et d'une dignité totale. femme comme un sexe un esprit un corps un être qui pense qui aime qui visite qui jouit qui pleure qui pulse le cosmos la terre et l amour qui soulève les sphères du monde.

site a visiter autre que le mien :
J

samedi 23 août 2014

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exprimer la largeur du reste
le temps est à la ricoche

je ne sais rien dans le test


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dans la largeur du temps mathématique
je roule sous les âpres fécondées du vent
je n'utilise pas la mort normale
je vais dans la nuit
le rabat de ma joie est facile
j'entre dans le temps


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 mon amour


PROJET MARIE MADGALENA / RECEUIL .. PIECE DE THEATRE
EXTATICS WRITES FOR AN EXTASE LOVE


Musique : Arvo part magnificat

LES PEINTRES DE LA RENAISSANCE ONT PEINT LE VISAGE DE MARIE MADELEINE lors du tableau la cène
Marie madeleine susurrait des mots secrets et tendres

( fin arvo part )
Extatic writes for un extase love…
Des écrits extatiques pour un amour d’extase.

Je t’attends es tu la
Je suis la
Je te cherche mon amour
Au travers de la lande fraiche, je suis ton ombre
Es tu la
Je suis la

Je te suis à la trace ce qui t’insuffle la chaleur dans les mains lorsque tu n’es pas là
Mais ton ombre vivante me suis à la trace chaque nuit obscure ou lumineuse

Je la vis pres de toi.

Lentement je t’aurais sortie de l’abyme
Aussi lentement qu’une colombe

Et je te dirais

De tes doigts des caresses en l’air
Sur ta bouche le sel de ma raison
Sur tes spasmes le miel équivalent de l’attente
Sur ma couche le dialogue d’un toi a toi
Correspondance et les mots en faience incertaine
Je jouxte imaginairement le corps de tes paroles
Le silence est un assaut

Je vais je viens dans la campagne marchant de ci de là amere
La musique je n’aurait voulu si belle que mon cœur battait trop fort

je voulais que   la sève augmente pour pouvoir jouir de l’ecriture
des mots sans blaspheme mes nuit aupres de toi

Comment dois je te nommer
Et filiat ,  je suis ta filiation

Je te suis comme le vent au travers des nuages feconds
J’entends tes prieres le soir quand tu sais que je ne suis pas là

Poeme d’amour , lettera amorosa
je ne transfere rien je me calme

la seve de ma passion

Je te cherche sous le soleil l’horizon
Le poison ne penêtre plus dans mon sang
Protéges moi du  vent de mes hivers physiques

Les pas sont lancinants et je cherche un ouverture pour le sol.
Je voudrais te sentir contre le silence 

contre ma respiration .

Mes amours liquides
Sont pur comme l’aurore

La passion n’est d’ordinaire qu’une histoire de destruction

 la passion de toi

une voie qui m’élève au dela du silence
Des phrases pures de toi à moi

Tu es un soleil  au centre.

Amoureuse d’un homme des années passée d’un homme qui a le Coeur dissout

Amor et magnificia et … humanitad…

(Passage prose poétique anfractueuse ou arvo part … )

Je penetre  ton visage et mon corps collé sur ta main
L’aube n’a meme pas montré son nez encore

Je ne dors plus mon amour tu es l’orage qui me consumme

et revela ..
et acomplit…ce qui a été revélé est accompli

Au milieu de la nuit je repars dans la terre
 Parfois  je te trouve ma vie mon ame
Du trouble  inversé

Je cherche aussi  le cri de l’existence
Je le trouve dans la pure presence de l’infini.

parfois je l’oublie je vaque aux occupations sobres.
tu es une aube de joie pour ma face

et revela predit…ce qui a été revélé est prédit

C'était une histoire sans fin/ dans l'apanage des doutes. D
Des myriades essentielles me faisaient voler en éclat dans la clameur du ciel sexuellement presente et absente / la crise avait ses raison d'être mais l'on ne les trouvais pas- Dans la paix d'un etang je divague, amère et douce comme le silence sur le tracas de ma joie. La perle au fond plus vaste qu'une tirade le jonc, plus secoué qu'un vent tiede et le couchant tombe
et se révolte sur le silence.

Abnegation par amour
Disgrace- de / grace

L'amour de dieu.
Sans l'apparence.

Serpent futilité à genoux.
Vanité céleste.
Pour laquelle je ne dis rien, je ne parle pas.
Mr christ voit plus large plus loin dans l'amour et l'abîme de temps.

Rejetée vers l'arrière.
Je l'aime.
Plus doux et plus silencieux que l'orage.




le diable au sang
les révélations qui saigne ne font plus de naufrage
la dans la temporalité qui se degage je vois l’air qui tourne
autour du met de toi mr  mr de nazareth
incommensurable
je te quitte parfois pour d’autre
 quand je ne saigne pas

quand je ne saigne pas de toi
je te quitte pour d’autre
dans la longueur d’une évidence non rethorisé a ton égard
je te fais du mal
je me degage parfois de ce mal que je t’afflige
tu reste silencieux
tu ne presente plus ton prénom au gens que je côtoie ni aux femmes que j’aime dans la fornication du ventre et du crime
je t’aime dans la distance
je t’aime dans la distance
la comme un soubresaut altéré de ton souffle
amour fou

Rends le monde  plus accomplit que sois meme

plus vivant encore que l’orage de l’asphalte

bleue et dense aussi comme une terre engourdie

Je brule de te connaitre ma face

Donne moins plus de matiere que j’ecrives plus tot sur le sang
De la colère des affres de l’humanité


l’amour est un paradoxe
le silence s’immisce sur la beauté
et mariage d’ame accomplie.

le plus pur silence
et cathedra fili
et .. filiat y et cathedra

universis

per tutti la vitam amore…
a

sphere antica

munda celesta …


dans sa profondeur le pur pur son du mouvement  est vers


le chemin est long mon amour et l’on dirais que  la felicité existe
a travers ton regard je vois toute ma vie


Il ne faut pas avoir peur de dormir




Tu es la largeur d’une  evidence
Profondemment

j’ai la plume qui se perds my love. Je voudrais la subtilité
pour toi et moi
et mundo felicitad

Comment vas tu ce matin
Think bout you

Find the truth

My love
My quiet face
Our  loving  land
God is quiet too…
And magnificat et preciosia..

This was
Extatic writes …

 For Love et acomplitia.


Me im’ marie magdelena extatic writes

Erotica songe l’homme en tant qu’homme

Mr c une nouvelle jeunesse qui regarde cette nuit faible de la cendre
Fustiges toi d’etre un homme avec autant de sel extatic sur ton front mon amour
Je visite la landes et je detecte ta chevelure comme une ombre qui ne s’assouvie pas
Je contemple le ciel peint avec mes doutes
Personnellement ma passion n’aura de silence que l’ombre de ma soif
Lourd mes vertiges

L’eclosion
D’abord
Religieuse
Quotidienne
La rivière
Incendie
Partance en hauteur
Mendiante
Repérant l’invisible
Un voyage reglemeté


Le souvenir de la déchirure qui pese

Tu disait des mensonge tu disais des offrande

Exiinde prima ubi ud quitta per la vitam amore
Christus






Je vais lentement mon amour
L’ombre du temps ne m’atteint plus
Je cherche a retrouver la vérité absconse et douce violence
De mes mots sagace
Pour que je puisse dire quelque chose
J’errais de ci de la
Dans un manteau une chambre
Un élément du ciel j’ecoute
My mood of the moment

Je t’aime


Sous un souvenir lancinant
Je descendait a l’hotel
Percutante je l’attendais depuis deux heures environ
Sur moi un parka blanc
Le seul sous mes aubes de silence

Je crevais d’attendre allongée sur le lit
Le temps passait  comme un roulement de vague lubrique
Les bas nylon le soutient gorge noir
Le temps qui defile, l’amour de la transparence
Je criais en silence sous l’ombre d’une vague amère
La musique je l’aurais bien voulue mais mon cœur battait trop fort
Il frappa sans entrer

Un journal intime comme le dernier type rencontré par hasard dans un train par informatique mon cœur s’échappe les mots comme les mien se fracassent dans ma bouches

I Watch today you’re card  at the post
It’s strange
Full of smoke
Don’t let me cry please
Waiting for you’re call
Waiting for you’re eyes
Waiting for you mr c
Like a frame in my heart

dans un hôtel, j'attendais qu'il se glisse
dans la chambre
suivante.je prenais quelques notes depuis peu
 enfin depuis
un moment
en réalité.


les volcans ne se rallument qu’a des degrés de douceur diffèrent
les hommes se rencontrent
et les larges soupir continuent
les événements ne se saisissent qu’a retardement



j‘ai peur du temps qui passe
lorsque par hasard les mots
cognent contre moi même
le sol pour la soif

mon secret prends patience
tu es seul en silence
tu triches
elle sors
qu’avez vous
le temps passe
doutez vous en donc
sur cet axe


l’amour gicle
sur ma face

Temporalité

Passe mon âme.
Mes jours.
Ma nuit,  mon sang.







Ma dune

Le vent couche son âme sur ma dune. L'éclair dit son regard. La lente agonie ne s'efface plus dans l'ombre de ma mémoire. Le ciel est dense. la couche s'alourdit sous l'encre de tes yeux.






Amertumes

Je cherche. La chaleur qui me reste. Les offrandes sont comme un horizon de palimpseste. Le coeur est dans l'étoffe du noir amoindri. Net sans trace, le rythme est le son de la temporalité. Le temps sous l'aube adjacente, en vain, dans le risque s'adonne les mots du silence.
Le schisme dans l'ongle, le temps s'immisce sous l'angle de ma bouche. La boucle du temps perdu n'est autre que l'étoile qui s'étends au devant des amertumes. La fleur n'est autre que la dent de mon désir sur ton désir ardent. Ma dent comme une ombre- latente.

Dans l'attente de toi je voyais passer la brume. L'état létal le venin. Sous ma finition je vaquais dans l'entreprise de ma mémoire.
La porte est ouverte.
Ne me dis pas ça.
La porte reste toujours ouverte.
Un jour tu regretteras de m'avoir dit ça.



Illusion : bois la dans ta face et crache un peu l'aurore de mes yeux




Totalité sexuelle

Devant la déchirure.
Je guette la pénombre.
Le soleil passe dans mon sang.
Je m'immerge.



Etres

La chaleur m'entoure d'elle même
J’avais des doutes te concernant. Les liens qui utilisent le sens des mots, la teneur de l'apocalypse.
Le joug des êtres et des choses.
Le temps comme passablement accomplit. Le lien du silence est pour peu dans l'air. Le caduque navire passe sans précision. Complexité.
Du vent et de la tornade, du cri et de la lourdeur de tes hanches.
Mon âme est étrangement inachevée. Le train file et se repent dans la brume.
Les couleurs me pénètrent de part en part.


God II


C'était une histoire sans fin/ dans l'apanage des doutes. D
Des myriades essentielles me faisaient voler en éclat dans la clameur du ciel/ la crise avait ses raison d'être mais l'on ne les trouvais pas- Dans la paix d'un etang je divague, amère et douce comme le silence sur le tracas de ma joie. La perle au fond plus vaste qu'une tirade le jonc, plus secoué qu'un vent tiede et le couchant tombe
et se révolte sur le silence
 
Absorbe le sel de lumière. 

Avide je trace un cercle d'encre sous tes yeux


le sexe et l’absence


asphalte
je cerne la limite a t’accorder
je ne te donne que ma langue sale  amère et lumière
je t’aime plus dans le creux de ta langue altérée.
Soleil de toi
Armes toi d’impatience
Que je goutte a ton silence eclaté



JE ME DISAIS JE PARS

là sous l’envergure amère
et je ne dis rien.
Je passe une rafale sous une pénombre.
 La vérité ne marche plus que seule

En silence, en silence.

Sur le creux de ma nuque absente la tu veilles
 comme une étoile liquide
Perlée de part et d’autre du sommeil je vais je viens ,
Je titube , une discorde.
Tu me disais l’autre jour que l’amour ne valait
pas la peine.


comme sur le lait sur le feu avant qu'il ne jacasse

soleil eclaté



enseignement des astres
conplexe








FIN DE L'EXTRAIT
END ...  FOR RESIDENCE TO FOLLOW THE PROJECT ... IN BOOK ..OR READING POETRY PERFORMANCE..












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Le devant de ta femme
Sous le soleil électrique

Viens en soupape me montrer le  beau
La  je flotte
Mon sang est un détours de femme 
Je ne vois que toi dans mon destin
le temps clemant est adjacent a la montagne. je navigue dans le trop plein de la terrifiante odeur du neant. le ciel est un savoureux
sous un souvenir lanscinant je descendais a l'hotel. percutante je l'attendais depuis deux heures environ. le temps clemant etait adjacent. sur moi un parca blanc, le seul sous mes aubes de silences. je crevais d'attendre
dans les significations sourdes. la lourdeur du temps pèse sous tes yeux. je disais qu'il fallait des mondes adjacents pour réparer la mémoire et du feu dans l’âme pour chavirer le temps. le temps de ma soif pour une vie féconde. le temps de l'impossible d’où jaillissait l'embrun, des vagues impatientes. une cristallisation pour le jour. des lueurs amères et têtues. de ma terre ou s’enferme.  de mes nuits, la douceur

lundi 10 mars 2014

je m'emporte
la dans le sens de la division poétique
sur un passage bleu de sang et de lumière
je cherche un nuage limpide comme une danse avec le feu
je te dis je t'aime comme a la longueur d'un onde évaporée
dans le rythme de la poussière et de la vie aquatique




la dans le suc du schisme je passe reverberant la terre et le violent rythme de l'affabulation des amants.
je rature l'image je passe en revue les heures que je ne passe pas avec toi
masturbation au whisky sur une table basse sans dormir puis dormant a l'envers d'une histoire de jeune épousée.
le mariage est infamie. 
mariage du ciel et de l'enfer avec blake pour te tenir en haleine mon amour