credits texte et photographies Lou godard Aka Maud// tous droits réservés..

Prix: second prix de lecture de prose sonore au printemps des poètes 2013 sud de la France
Travail photographique par moi même et autoportrait ...

PROSE POETIQUE ET PHOTOGRAPHIE UNDERGROUND

Mon travail prose poétique et nu artistique est un regard sur la femme dans sa totalité corps et âme ..pensée et corps. elle vise a sortir des clichés de la femme objet.. elle cherche à s'ouvrir vers les beautés d'une complétude et d'une dignité totale. femme comme un sexe un esprit un corps un être qui pense qui aime qui visite qui jouit qui pleure qui pulse le cosmos la terre et l amour qui soulève les sphères du monde.

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jeudi 9 mai 2013


 
 
 
 



 






  Des élans de se quitter pour de vrais.. la je ne revois pas le monde en arrière je le dessale comme un étang. je ne vais plus vers l’arrière de ma femme pour comprendre sa féminité. je redeviens main de terre et main offrande 




De mes emphases je quitte le navire  je ne vois pas le risque m’abandonner sur la route je ne vois que la séparation qui pointe . je suis une femme définitive des fois je reste dans la demi mesure des fois je chiale dans le silence . 
la sous les nerfs qui slash se cassent 


 la montagne du jours sous ma femme éclipsée dans la louve..


Je ne cherchais rien d'autre que rien et l'abjecte exécration de la référence. Je fus fustigée par le centre. O noirceur du doute sans un sens la limite la violence. sans rien la honte qui me traverse. chienne. circulation vibratoire. la mort de moi-même la nuque la vie sans effrois. dimension politique




les arbres de sang la couleur de l'ombre.
les arbres me protège contre la lumière aveuglante
  douce 




mercredi 8 mai 2013









seule avec mes doutes
le bord du vide est une pierre
laissons les arbres humer la foi
le silence jacasse comme la distance


Des doutes
j'encercle le vide
la femme entre sous la pénétration du centre
les joutes sont distinctes
le néant est une voie comme celle de l'orage




oiseau du vide
viens te poser
accusée de moi même
fustigée par le centre
je suis l'ombre des rêves
prise au piège des cendre
en enfance éclatée
je m'immerge sous la cendre
je reviens par le ventre
dans le cœur du risible





pour te dire amen dans le temps
précis pour te dire que ma femme ne saigne plus
elle soigne sa droite pour te dire je t'aime
mais le temps des amours n'est pas arrivé
lentement s’immiscer
à travers la lande
économiser le prisme ardent des feuilles jaunes et amères sous mes deux yeux
lorsque tu es si dense

décembre
 





comment est il plus beau
face a la non rime
au non rythme de tes yeux
du sel sauvage et profond
ma langue viens vers toi
hier j'ai lu ma poésie en trois minute
le vent a fait fourcher les yeux des passagers
mes textes doivent se lire dans la lenteur et le temps comme une histoire de tenebra lux





  approchant de la déchirure
le roi se fut fou
d'un ombre et d'un tout
le bout de ma chevelure

incendie




si tu ne vois pas le cyclone
je te fais une femme de jouvence
le creux des mains est magnifique
et la distance est belle comme comme une énigme
passe quand même sous le sol établit
je ne te dirais que l'accalmie du silence
ombre et lumière
danse et démon
le temps se erre
l’éclat 



 le fiel tombe
la nuit vient sur le devant
des lourdeurs terrestres
la quête esthétique est aussi dans la puissance du vide
les orages fécondent le divorce