spleen
matinale
je crache le sève
je ne te dis rien 'autre que je t'aime
dans la lourdeur d'une extase
credits texte et photographies Lou godard Aka Maud// tous droits réservés..
Prix: second prix de lecture de prose sonore au printemps des poètes 2013 sud de la France
Travail photographique et autoportrait ... modèle
PROSE POETIQUE ET PHOTOGRAPHIE UNDERGROUND
Mon travail prose poétique et nu artistique est un regard sur la femme dans sa totalité corps et âme ..pensée et corps. elle cherche à s'ouvrir vers les beautés d'une complétude femme comme un esprit un corps un être qui pense qui aime qui visite qui pulse le cosmos la terre et l amour
.
site a visiter autre que le mien :
J
dimanche 30 décembre 2012
. "Je m’oriente et je pond un texte pour henry mon dieu. Mais je préfère le silence du cosmos je m’adresse avant tout uniquement au cosmos car henry peut être plus méchant qu’un salaud qui vous nique mal au plumard..
Voici le texte pour henry..comme une lettre d’offence
Infidèle j’etais masturbative je suis je change je change pour du mieux du changement dans l’air se fait venir je dormais toute la journée car j’etais trop sedatée par le médecin il me prenait pour un bipolaire alors que j’etais je pense plutôt shizoide… ou l’inverse
L’inverse je sentais les blabla les heurts les coups
La mer asphalte le cœur la mer le creux du sternum affable et miséricordieux.. asphalte néant je dors ma pluie mon âme
Mon âme mon amour je t’ai je t’aime je t’ai jeté..je t’aime passionnément passionnément je t’aime passionnément
Le livre sept est plus beau que le livre huit.
livre huit
ciel de serpent.
Il croit que je suis une nonne désaffectée.
. il nous rende plus mou qu’une araignée malade. A croire que c’est l’inverse d’un choix humaniste..il nous font payer le mépris qu’il vous envoient au visage
Le visage de la faïence éteinte
Jouir du temps intrépide l’opprobre sur ma main sur la vacuité du silence amoindri
Non je ne dis rien je me calme et je calme mes incertitudes.. celle qui me font mal celle qui me nargue ou me font du bien..
J’etais au fond plus éclair face au vent
Le diner souple je le connais
Le diner vague je l’absous presque
Trop froide trop distante trop acerbe
La il fait froid et j’ai sommeil le café s’eteint la lampe a huile s’allume dans mon fort intérieur je me dit que tout glisse sur moi meme les photo d’avant je cherche le sommeil mais il ne me trouve pas je le trouve il me cherche et me taille avec des grand reve souple
rafale a ses doutes
Je gémît sobre
Apprend a laisser pisser le coté rectal et a aimer l’horizon proche
L’horizon affable et miséricordieux l’argent sale du petit matin liquider ses douter ne pas aimer lus que le partage absent
Aimer puis liquider ou bien garder. Je reprends mon journal intime
Plus acheter des bigoudis pour se prendre en photo avec avec cette nouvelle politique esthétique d’instagram pas mal dit elle
Saint louis saint graal. Saint andrei je ne le lâchait pas d’un pousse. Celui la
Avec son bureau et ses plantes en bambou je ne le lâchait pas .
Je ne peignais plus je ne voyageais pas je dormais debout comme un zombie.
Affalé l’air du temps est liquide ou noir cela dépends des objectif
A se fixer
Se fixer bien ou mal
Bien ou mal je ne simule pas je jouis mieux en ce moment.
Extatic law..
Pure like the cristal of my eyes..
Jésus chrith my lover my romantic lover est absent.. comment avoir une relation avec un mec absent. Ca je ne le sais (guerre). Je ne le sais que trop
I love your mouth i love your eyes.
Je concevais des tee shirt pour gagner ma vie. Originaux et plus one.
Je m'immisce lentement comme un machine subtile machine a broyer le temps je passe de lubricité en lubricité j' accomplie mes doutes je crie dans la lande fraiche
Quelle est ton ombre dis moi.
je chiale je titube je hurle sauvageonne
les ombres sont svelte et passe comme des uppercut notoire
Je vais me coucher j’espere que demain l’art sera de nouveau pressentie
En collaboration avec l’auteur cette nuit sera la dernière entrée libre vogue adjacente .
Je suis une mauvaise écrivaine en ce moment
Je me noie dans le double passage. Lui il m’attends ferme avec sa queue d’art exquise il y a les hommes. Surtout un qui me baise comme une intellectuelle.
I. il est tendre quand il tripote mes seins
crise de nerf apocalypse féminine.. je les vire je ne me masturbe plus je medite je voyage je n’y pense plus
Un hymen foudre comme dirait un ami. Qui a le verbe plutôt bien sentit. Lui il s'appelle Wilfried et lui il écrit une poésie a faire chialer les femme.
diary of december...
poetry of my winter ad sexuality admoré correspondance.. comme anais nin avec henry miller
lui..
"a cet instant,tu es statique et dans le mouvement
sublime matiere bleue chienne de mes rêves
me mettre fou/nu sous la foudre de ta plume
ne me sentir si peu atome fulgurant dans l’éphémère
sois mon rayon dark blinding light
pénètre moi de ta lumière
je m'ouvre et crache hors de moi les craintes
indicible étreinte et de toi je suis slave/fou/domina/domine
comme je te sens éclair dans l'abstrait
suave orale,voix octogonale
voie chienne cutter je te découpe en ombres fines
une retenue adulte a savouré le flux
une convoitise enfant impulsive a dévorer
le gout distillé par la beauté....."
des gestes fous sur toi en apesanteur.....
j'aime ne pas t'entendre
reve bien ma disolvi.....j'ai peur de trahir le solvi...nous verrons bien..
flingue moi entre tes seins,je meurs fou sur ton ventre.....un shoot je me glisse hybride sur ton pubis,là,finit,je stagne..................plus bas,tu meurs avec moi....
je suis ton poison ...."
(Agathe .Napalm )
lui..
"a cet instant,tu es statique et dans le mouvement
sublime matiere bleue chienne de mes rêves
me mettre fou/nu sous la foudre de ta plume
ne me sentir si peu atome fulgurant dans l’éphémère
sois mon rayon dark blinding light
pénètre moi de ta lumière
je m'ouvre et crache hors de moi les craintes
indicible étreinte et de toi je suis slave/fou/domina/domine
comme je te sens éclair dans l'abstrait
suave orale,voix octogonale
voie chienne cutter je te découpe en ombres fines
une retenue adulte a savouré le flux
une convoitise enfant impulsive a dévorer
le gout distillé par la beauté....."
des gestes fous sur toi en apesanteur.....
j'aime ne pas t'entendre
reve bien ma disolvi.....j'ai peur de trahir le solvi...nous verrons bien..
flingue moi entre tes seins,je meurs fou sur ton ventre.....un shoot je me glisse hybride sur ton pubis,là,finit,je stagne..................plus bas,tu meurs avec moi....
je suis ton poison ...."
(Agathe .Napalm )
jeudi 27 décembre 2012
mardi 25 décembre 2012
lundi 24 décembre 2012
samedi 22 décembre 2012
opera sur electre
monté et interpreté par maud querol ferrer sur un musique d'Elci vargas
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projet ( exécuté) d'installation video pour la performance "ce que disent les l(armes)" avec alex pop mamzelle frida et maud querol ferrer) montage mqf... copyright collectif synchrones et maud querol ferrer...
Projet et installation videographique pour de la danse contemporaine... réalisation montage mqf...
-->
Je
ne ment point à ma femme je lui donne la becquée pour des jours plus vastes
que l’orage je cerne les vicissitudes de ton prénom
Seigneur
je crie ton nom dans la lande fraiche et pale tu m’a pris l’homme que j’aime
mais je sais qu’il est a présent plus pres de moi encore
Lasse
comme une chienne sur le rabat de ma joie
La dans
la clameur d’une voie ouverte j’ai voyagé avec mon homme car
Ressuscitas est
Je
ne suis pas morte dans infinité de la mort normale je vais encore dire que je
suis la femme secrète de dieu
La
chienne eclatée des doutes
-->
Le poison ne pénètre plus dans mon sang
Protége moi contre toi contre le vent de mes hivers
physiques
Les pas sont lancinant et je cherche un ouverture pour le
sol.
Mes amours liquides
Sont pur comme l’aurore
La passion n’est d’ordinaire qu’une histoire de destruction
la passion de
toi
une voie qui m’eleve au delà du sexe
Des phrases pures de toi à moi
Tu es un soleil au centre.
Amoureuse d’un homme des années passée d’un homme qui a le
Coeur dissout
Amor et magnificia… humanitad
face noire lumière de dieu
o temps impatient, je titubes un peu et je vais
dans la largeur du néant et dans le second passage.
je vais si
loin, ma joie absolue de te rencontrer
toi si brillant comme un soleil chacal.
Vente de mon âme, vente de mes biens,
vente de ma jouvence.
Mur de honte et de luminosité dans le clair du temps,
l'humiliation ne m'atteint pas. je prie rien d'autre
qu'Henry de m'envoyer quelques intellectuels
pour combler la lumière de mes doutes.
Dans l'ombre du
temps la foi et la neige.
je cherche à discerner la profondeur
des couches
souples et terreuses.
l'horreur n'est
pas si grâve, si grâve.
une giclée
souple de conscience
dans ma face
pure comme
le cristal et je ne crie plus j'attends
dans mon corps inaccompli je ne vais plus
sur le chemin ô zarathoustra mon orteil cassé ma honte.
Compassion aides moi à trouver le rien
du tout à chercher le pur cristal sombre,
tout est si normal. Tout va si bien ce matin
je pense à toi
je voudrais te comprendre.
Tu es trop complexe et moi fâce au vent.
je ne maîtrise
plus rien je ressens du silence
le plaisir. je t'aime moins pourquoi.
je tombe sur un mur blanc
qui me perturbe repoussée pas assez belle
pas assez
chienne.
Si tu savais comme j'aime la couture à la pointe du comas.
Des après couleurs du négatif.
Le désir et la parole n'est qu'une carapace à résoudre dans le silence du refus.
Pastorale sous la lumière éclatée.
Mr C est plus limpide.
Les corps ricochent dans l'amer et l'admiration féconde.
Je ne vois pas le temps qui passe.
Je rêve de malaise, de falaise et de corps envenimé sur l'asphalte poreux.
Je rêve de silence et d’écriture.
Plus pour l'horizon dans ma tète que pour la médiocrité du vent.
Le désir et la parole n'est qu'une carapace à résoudre dans le silence du refus.
Pastorale sous la lumière éclatée.
Mr C est plus limpide.
Les corps ricochent dans l'amer et l'admiration féconde.
Je ne vois pas le temps qui passe.
Je rêve de malaise, de falaise et de corps envenimé sur l'asphalte poreux.
Je rêve de silence et d’écriture.
Plus pour l'horizon dans ma tète que pour la médiocrité du vent.
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