l'horizon qui passe en soi pour soi un horizon alambiqué. de première raison une raison fâcheuse. sous l'affable air des mots proche le létal. métallique UR gique dans ma bouche passe le sel de ta raison.
encore une histoire de mimiques qui fais peur. je me lasse et m'enlace plus.
j'ai peur du temps qui passe le ciel pourpre sous mes yeux.
lorsque par hasard les mots cognent contre moi même. le sol pour la soif.
Mon secret prends patience
Tu es seul en silence
Tu triches
Elle sors
Qu'avez vous
Le temps passe
Doutez vous en donc sur cet axe
L'amour gicle
sur ma face
les étranges jours passent anonymes. le ciel sur le temps est en l'air et je gicle sur le jour de ma nuit.
la réalisation, un séjour ne dit de revenir dans l'apoplexie des jours. le coeur est une carapace angélique et le poids quelque chose qui jouxte ma joie.
le voir s'immiscer dans le ( vent) de la nuit
je me remet a écrire un rien qui ne s'achève pas. le bonheur qui tombe a l'envers
les joies fécondes
le diamant sombre de la putain
un travail pour tous les jours de ma vie
un silence pour tous les jours de mon ombre
je vais je viens le long de toi
je crie encore sous l'amour du jour
je ne sais plus quel est ton nom
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