Maud Querol Ferrer
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credits texte et photographies Lou godard Aka Maud// tous droits réservés..
Prix: second prix de lecture de prose sonore au printemps des poètes 2013 sud de la France
Travail photographique et autoportrait ... modèle
PROSE POETIQUE ET PHOTOGRAPHIE UNDERGROUND
Mon travail prose poétique et nu artistique est un regard sur la femme dans sa totalité corps et âme ..pensée et corps. elle cherche à s'ouvrir vers les beautés d'une complétude femme comme un esprit un corps un être qui pense qui aime qui visite qui pulse le cosmos la terre et l amour
.
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J
jeudi 16 décembre 2010
samedi 4 décembre 2010
mercredi 2 juin 2010
le sang sous sa couleur d'ombre néfaste se gelait par accoup
comment une femme existe aujourd'hui
dans le sous jacent. le latent avec les hommes?
FORCE DE FEMME
elle simule sa force ?
elle se bat
elle danse
elle tiens
elle hurle
elle jouit.
elle pleure
elle se targue de tenir
elle est la force
Force
lundi 31 mai 2010
dimanche 30 mai 2010
CORRESPONDANCE ET MOTS
Des tes doigts, des caresses en l'air
sur ta bouche , le sel de ma raison
sur tes spasmes, le miel equivalent de l'attente
sur ma couche le dialogue d'un toi a toi
correspondance et les mots
en faience incertaine
je jouxte imaginairement le corps de tes paroles
le silence est un assaut
EQUINOXE DE MAUD QUEROL FERRER
sur ta bouche , le sel de ma raison
sur tes spasmes, le miel equivalent de l'attente
sur ma couche le dialogue d'un toi a toi
correspondance et les mots
en faience incertaine
je jouxte imaginairement le corps de tes paroles
le silence est un assaut
EQUINOXE DE MAUD QUEROL FERRER
dimanche 28 février 2010
Sous couvert des lectures adjacentes, je veille en creux
comme la droiture du sommeil
je perce le jour d'une aurore amoindrie
je vante le ciel contre et en dehors
je passe en silence
le passage entre
l'inceste au couleur
le second et le troisième passage qui me hante
je ne lui ai jamais rien dis
l'aube, le temps est une histoire de miséricorde
me marier pour achever le sommeil
parler sous la jouxture du vent
le bonheur de t'aimer a l'endroit d'une ombre
en silence
sortir le soir accompagnée de mes erreurs
Sous la pente de mes yeux
mes doigts, mes mains mes sourcils en fonte de toi même
Accouchement et culpabilité
je franchis une censure
la peur de mes mots au creux de toi une fois ton envergure et la paix dans ma maison
au centre du VERTIGE toi et ton chien ne me laissant plus jamais seule
le vent sur ma planète une ecriture trop complexe et le silence qui ne s'abime plus
dans l'air de la clarté, l'opprobre la voie le SILENCE
dimanche 14 février 2010
l'horizon qui passe en soi pour soi un horizon alambiqué. de première raison une raison fâcheuse. sous l'affable air des mots proche le létal. métallique UR gique dans ma bouche passe le sel de ta raison.
encore une histoire de mimiques qui fais peur. je me lasse et m'enlace plus.
j'ai peur du temps qui passe le ciel pourpre sous mes yeux.
lorsque par hasard les mots cognent contre moi même. le sol pour la soif.
Mon secret prends patience
Tu es seul en silence
Tu triches
Elle sors
Qu'avez vous
Le temps passe
Doutez vous en donc sur cet axe
L'amour gicle
sur ma face
les étranges jours passent anonymes. le ciel sur le temps est en l'air et je gicle sur le jour de ma nuit.
la réalisation, un séjour ne dit de revenir dans l'apoplexie des jours. le coeur est une carapace angélique et le poids quelque chose qui jouxte ma joie.
le voir s'immiscer dans le ( vent) de la nuit
je me remet a écrire un rien qui ne s'achève pas. le bonheur qui tombe a l'envers
les joies fécondes
le diamant sombre de la putain
un travail pour tous les jours de ma vie
un silence pour tous les jours de mon ombre
je vais je viens le long de toi
je crie encore sous l'amour du jour
je ne sais plus quel est ton nom
mardi 9 février 2010
jeudi 4 février 2010
mardi 2 février 2010
dimanche 24 janvier 2010
Dans les vastes t je veillais en creux à marier les astres. sans les rondes étoiles alourdies lentes amertumes. le voile encré du sommet.
Le vent couche son âme sur ma dune. l'éclair dit son regard. l'ombre de ma mémoire. le ciel est dense. la couche s'alourdit sous l'encre de tes yeux.
je cherche. la chaleur qui me reste. les offrandes sont comme un horizon de palimpseste. le coeur est dans l'étoffe du noir amoindri. net sans trace le rythme est le son de la temporalité. le temps sous l'aube adjacente, en vain, dans le risque s'adonne les mots du silence. le schisme dans l'ongle, le temps s'immisce sous l'angle de ma bouche. la boucle du temps perdu n'est autre que l'étoile qui s'étends au devant des amertumes. la fleur n'est autre que la dent de mon désir sur ton désir ardent. ma dent comme une ombre- latente.
Dans l'attente de toi je voyais passer la brume. l'état létal le venin. sous ma finition je vaquais dans l'entreprise de ma mémoire. le temps double.
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