the sophie calle mouvement

dans un hôtel, j'attendais qu'il se glisse dans la chambre suivante.je prenais quelques notes depuis peu enfin depuis un moment en réalité. je suivais le principe de sophie calle mais sans passer a l'acte le  no sex last night m'avait déja ouvert les yeux sur un concept ou bien je ne me souviens plus si je m'étais mise en scène déja avant d'avoir vu le film.
cela donnait: 


mairie ok
église en cours
alliances en cours
robe ok
costume en cours
robe enfant et demoiselle d'honneur en cours
voiture mariés en cours
voiture ballet ok
repas en cours
salle ok
dj en cours
photographe en cours
fleuriste ok
coiffeur ok
maquillage ok
manucure ok

POESIE visage--------------------------------------------------

l'amour de soi sans le narcisisme

lent soir laqué du printemps sobre

létale létal vainc sous son but absent
il ne se  dérange pas pour vivre les premiers jours de sa vie .
la il passe sous de nombreuses fréquentations
celle du monde qui s'extrait de sa vue chaque jour que la lumière fait

ne rien comprendre au début de cette histoire- PACIFIQUE
moi même je n'y comprends rien.
une femme passe aguerrie de bleué dans les yeux
elle ne le remarque pas de suite
elle se dit qu'elle a trop vécue pour se laisser aller encore
pourtant la voix de l'enfant intérieur lui dit

CHERCHE ENCORE - ABSTIENT TOI DE GEINDRE-NE RIVALISE PAS-DISTANCIES TOI ET NE TE DISTANCIES PAS

la au creux d'un second vertige
elle ne renie plus les choses
qui par le biais du vent viennent a elle.
l'homme elle le voudrait comme pour l'abattre mais au lieu de ca elle cherche a aimer.
danse et lourdeur de pale incertitude campe dans sa tete
heureuse

MR C

UNE NOUVELLE JEUNESSE --------------QUI REGARD-------E

CETTE NUIT------- FAIBLE DE LA CENDRE

FUSTIGE TOI D'ETRE UN HOMME AVEC SI PEU DE SEL EXTATIQUE SUR TON FRONT

MON AMOUR

JE VISITE LES LANDES ET JE DETECTE TA CHEVELURE COMME UNE OMBRE QUI NE S'ASSOUVIE PAS

JE CONTEMPLE LE CIEL PEINT AVEC MES DOUTES

PERSONNELLEMENT MA PASSION N'AURA DE SILENCE QUE L'OMBRE DE MA SOIF

LOURDS, ( MES VERTIGES)

l'histoire de faire ré-émerger

une certaine forme de cinéma

la laideur la beauté de l'instant présent

des états âmes confidentiels

de la pureté

SYMBOLIQUE DE LA LUNETTE

FAIS MONTER MA FEMME

ETAT DE FAIT N°2

STRUCTURE LINGUISTIQUE

MERDE

OUI

Bruit- crash-téléphone

améliorer l'image- pisseuse

musique

DÉUS

Parfois il faut cerner les signes avec justesse

ETAT DE FAIT

je me blinde

et je me sculpte

féminité

FUMIGATION

JE FUSTIGE MES PROPRES PROBLEMATIQUES

MUNDO

EXINDE PRIMA - UBI UT QUID PERDITI

NUNCA

TODAY

I WATCH TODAY FOR YOUR CARD AT THE "POSTE"

IT'S STRANGE

MEDIUM

JE VAIS BIEN

l'éclosion

d'abords

religieuse

quotidienne

la rivière

incendie

partance en hauteur

mendiante

repérant l'invisible

un voyage

réglementé

Dans les courbes sphérique

je ressens la pure humilité

VERITÉ

l'extrême netteté est aussi simple

la libération de l'art est au dessus de ta tète

la modestie est matérielle

Enseignement

INCESTE DES DIEUX

Chienne

je tente

j'y renonce

TOI

NE ME PERDS PAS

S'IL TE PLAIT

JE T'AIME

-ENSEIGNEMENT DES (ASTRES)-

-Complexe-

epopée guerriere

ABNEGATION PAR AMOUR

DISGRACE- DE / GRACE

toujours la même nuit qui ne s'achève pas

Elle ressens ce matin la des émotions les plus vives elle se prépare a aller vers les choses

les terrains limpide de l'existence...

la placide  plate-forme de la vie nocturne.

Matinale elle ne se force pas ce matin. elle écoute monter les sensations qui ne soutiennent plus sa mémoire. son temps est impertinent. le givre crépite sur le dehors.

il y a encore du temps avant de se préparer a aller au travail. elle se sent bien pour traverser la ville

les étoiles dans le ciel ont disparues le silence s'étale dans l'ascenseur, la petite lumière monte et fait tic tac un bip se fait entendre. elle repense à lui a la dernière fois ou elle l'a entrevue, par écrit l'auteur va et viens dans le silence sur la table, le réverbère éteint. le vide dans les bras elle soupèse encore une fois son coeur. l'altitude lui fait peur parfois. elle entre dans le métro et sens les parfums et sudation matinale. elle ne force rien elle reste affable un peu froide comme le temps encapuchonnée dans son blazer elle hésite a sortir un livre. blotties par les mouvement et éclaboussée par la lumière. son schéma mental change chaque matin des variante entre le soleil et l'abîme

l'interphone et le silence

Bleu du temps vertigineux. les râles se font sourds et lourds. le silence est une voix que le vent adjacent réclame.

Les silences sont dans la pénombre. le recapitulatif forme et transforme.

Des restes et je succombe, pâle, translucide. une ombre communement commune placide et souterraine

En vague j'ai rencontré la pénombre

Du temps et les rales s'engouffrent sous le sol terreux cataclysmique. tu me reponds je vends ma mémoire. Elle monte au loin de mon envergure le soir depend du temps. elle recherche l'homme à atteindre à abattre dans son sang noué comme l'aurore. le doigt sur l'interphone elle va et viens. le silence vient sur ses épaules et le vent claque sur la fenêtre. il fait froid dehors le givre s'abat sur la vitre