Dans les vastes t je veillais en creux à marier les astres. sans les rondes étoiles alourdies lentes amertumes. le voile encré du sommet.
Le vent couche son âme sur ma dune. l'éclair dit son regard. l'ombre de ma mémoire. le ciel est dense. la couche s'alourdit sous l'encre de tes yeux.
je cherche. la chaleur qui me reste. les offrandes sont comme un horizon de palimpseste. le coeur est dans l'étoffe du noir amoindri. net sans trace le rythme est le son de la temporalité. le temps sous l'aube adjacente, en vain, dans le risque s'adonne les mots du silence. le schisme dans l'ongle, le temps s'immisce sous l'angle de ma bouche. la boucle du temps perdu n'est autre que l'étoile qui s'étends au devant des amertumes. la fleur n'est autre que la dent de mon désir sur ton désir ardent. ma dent comme une ombre- latente.
Dans l'attente de toi je voyais passer la brume. l'état létal le venin. sous ma finition je vaquais dans l'entreprise de ma mémoire. le temps double.