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man ray

romantisme

je vais si lentement mon amour. l'ombre du temps ne m'atteins plus. je cherche a retrouver la véracité absconte et violente de mes mots sagace

s pour que je puisse dire quelque chose. j'errais de ci de la dans un manteau une chambre un élément du ciel j'ecoute my mood of the moment j'ai un peu froid et le café s'éteint.

o temps impatient, je titubes un peu et je vais dans la largeur du néant et dans le second passage. je vais si loin, ma joie absolue de te rencontrer toi si brillant comme un soleil chacal.

Vente de mon âme, vente de mes biens, vente de ma jouvence.

Mur de honte et de luminosité dans le clair du temps, l'humiliation ne m'atteint pas. je prie rien d'autre qu'henry de m'envoyer quelques intellectuels pour combler la lumière de mes doutes. Dans l'ombre du temps la foi et la neige.

je cherche à discerner la profondeur des couches souples et terreuses. l'horreur n'est pas si grave, si grave. une giclée souple de conscience dans ma face pure comme le cristal et je ne crie plus j'attends dans mon corps inaccompli je ne vais plus sur le chemin o zarathoustra mon orteil cassé ma honte.

Compassion aides moi a trouver le rien du tout a chercher le pur cristal sombre, tout est si normal. Tout va si bien ce matin je pense a toi je voudrais te comprendre. Tu es trop complexe et moi face au vent. je ne maîtrise plus rien je ressens du silence le plaisir. je t'aime moins pourquoi. je tombe sur un mur blanc qui me perturbe repoussée pas assez belle pas assez chienne. Si tu savais comme j'aime la couture à la pointe du comas.

La porte est ouverte

Ne me dis pas ça

La porte reste toujours ouverte

Unn jour tu regretteras de m'avoir dit ça

Fragment d'un Discours Amoureux un film de Maud Querol ferrer

En fin de compte à part la musique,dis moi que tu te sens mieux au moins

Ca me rappelle toi il y a six ans

Mon exil est enclos dans la grêle. mon exil monte a sa tour de patience. Pourquoi le ciel se voûte t'il?

( R.Char lettera amorosa)

le sec et l'amer tu hume une pâle rencontre. j'etais la à t'attendre l'histoire d'amour. Je rencontrais le monde par hazard je suivais des voies inavouables. Pourquoi te dire les choses tout de suite. Tu sais attendre le dernier frisson la derniere chose que je te donnes. tu m'assaillais de part en part. l'opus 58 de beethoven frissonnait dans la piece j'attendais que tu me donnes le reste des meilleures choses a accomplir un journal intime pour un instant plus tard j'expliquerais.

sous un souvenir lancinant je descendais a l'hôtel. Percutante je l'attendais depuis deux heures environ. Sur moi un parka blanc, le seul sous mes aubes de silences. je crevais d'attendre. Allongée sur le lit le temps passait comme un roulement de vague lubrique. Les bas nylon le soutient gorge noir le temps qui défile l'amour de la transparence. je criais en silence sans l'ombre d'une vague amère. la musique je l'aurais bien voulue mais mon coeur battait trop fort. Il frappa sans entrer. je sursautais fondement originel du sursaut. je savais que ce n'était pas le bon mais j'y allais quand même. par désir par amour propre. il m'avait sensiblement plu. Son regard de chien lancinant et l'amour de son visage. la véracité de ses mots.

(photo couleur jambe par Nmonade)

il me manque une cohérence. le bruit du silence n'est autre que la jouvence écrite. je tiens a mes arguments. le flac la flore est sauvage. la beauté est une des histoires.

le silence dissout.

toi

Ne jamais percevoir ce que l'on écrit et ce que l'on lit. liant le tout, connaître l'inconnu comme l'aurore.

il décide de gratter sans précipitation les étoiles aussi. un jeune homme sur la quai. se passer de sa présence. la contradiction . a l'oreille le défi du grand saut.

la chaleur m'entoure d'elle même

j'avais des doutes te concernant. les liens qui utilisent le sens des mots, la teneur de l'apocalypse

le joug des êtres et des choses

le temps comme passablement accomplit. le lien du silence est pour peu dans l'air. le navire passe sans précision. complexité.

du vent et de la tornade, du cri et de la lourdeur de tes hanches.

mon âme est étrangement inachevée. le train file et se repent dans la brume. les couleurs me pénètrent de part en part